Echos et prises de notes, en direct des Grottes.
Documents et rédaction un peu brut de fonderie, ce sont, comme leur nom l’indique, des... prises de notes ! Et oui...
Réflexion commune :
Qu’est-ce que SPIP et pourquoi continuer à le développer ???
- Motivations de base déjà atteinte voire dépassé par l’ensemble de la communauté web...
- Constat que ds certains cas, SPIP ne s’est pas avéré judicieux => sous tendrait que d’autres outils sont mieux pensés ? => plus adapté au projet en question, peut être plus...
- Pour certains, l’avantage majeur de SPIP est sa langue de développement (Fr.) ! [NdlA] pr moi, avantage un peu trop limitatif... ya qu’à écouter Klaus pour comprendre que cte argument n’est vraiment valable QUE pour nous français...
- Avantage des participants/intervenants de qualité => ouais enfin ya pas que chez nous je pense...
- Tendance se dirigeant vers le « tout réutilisable » (et donc évolutif)
- SPIP fournit plein d’automatismes relativement récurrents d’un site à l’autre et stables. Evite d’avoir à réinventer l’eau chaude à chaque nouveau projet => retrouverait t’on un peu la notion de Framework ???
- Stabilité native, fraicheur, inititative utilisateurs aboutissant à une révolution de fond..., pour Klaus, c’est THE aventage par rapport aux autres...
- côté « autogéré » de la communauté => possibilité d’offrir des solutions mieux adaptées à certains projets (côté un peu affectif encore...)
- intéressant à développer : le côté « distribution » (un SPIP orienté blog, un SPIP orienté catalogue, etc.)
- OpenPublishing : pour proposer une interface plus aérée, plus « friendly » aux visiteurs/rédacteurs .
Et on en arrive tout gentiment à causer de l’espace privé...
- hiérarchie des tâches telle que suggérée par l’espace privé semble cohérent et, d’un certain point de vue, assez didactique.
- Importance de bien savoir pourquoi attribuer (ou, ne pas attribuer) un accès à l’espace privé, de ce que l’on veut/doit faire avec :
- faire du « billet pousse-pousse » ?
- ou fédérer un pool de rédacteurs ?
- Le soucis un peu récurent, c’est que dans cet espace privé, quoiqu’on cherche à visualiser, on est toujours très loin de la forme finale que prendra le contenu une fois publié en front-office.