Version 5 — Mai 2012 — Beurt
Ceci est une ébauche que chacun est invité à compléter...
Voici une tentative de synthèse de ce que l’on peut lire ici et là pour aider chacun à optimiser son site sous SPIP pour qu’il soit plus rapide.
Dans un premier temps, il faut préciser que SPIP embarque déjà, sans ajouts particuliers, une multitude d’outils automatiques d’optimisation des performances [1]. Cela signifie que la plupart des webmestres n’auront rien à faire pour obtenir des performances proches d’optimales. Mais, il y a certains cas, comme des sites à très fort trafic (combien ?... à définir), ou quand le(s) serveur(s) est(sont) sous-dimensionné(s), il est nécessaire de mettre la main à la pâte pour optimiser encore. Souvent, ces ajustements sont spécifiques du site, et c’est parce que leur généralisation n’est pas possible que ces méthodes ne sont pas intégrées par défaut dans SPIP.
À partir d’une page de squelette (ex. : squelettes/sommaire.html), SPIP va interroger la base de données pour récupérer le contenu nécessaire et construire une page HTML qu’il renvoie au navigateur. Ce calcul se fait en plusieurs étapes, notamment rappelées ici : http://www.spip-contrib.net/Optimisation-de-la-charge-serveur-SQL-et-var_profile
On peut connaître les temps de ces trois calculs (je cite : http://www.spip-contrib.net/Optimisation-de-la-charge-serveur-SQL-et-var_profile) :
<blockquote class="spip">
- ?var_profile=1 (service du cache)
- ?var_profile=1&var_mode=calcul (prise en compte des nouveautés de la base de donnée)
- ?var_profile=1&var_mode=recalcul (recompilation = prise en compte des modifications du squelette)
Optimiser son site SPIP c’est donc travailler à réduire ces temps de calcul quand le visiteur veut afficher une page :
-* rendre le cache le plus efficace possible : éviter que SPIP ait besoin de refaire les calculs de l’étape 1 (c’est à dire la compilation du squelette et création du cache dynamique) et 2 (c’est à dire l’exécution du PHP, des requêtes SQL et création du cache statique) de donc limiter l’action de SPIP à l’étape 3 (service du cache).
Quand un visiteur tente d’afficher une page d’un site sous SPIP, il existe d’autres temps d’attente que ces temps de calcul que l’on peut aussi souhaiter réduire :
- Le temps de téléchargement des éléments de la page ,
- le temps de calcul des positionnements dans la page par le navigateur ,
- et le temps d’exécution du JavaScript de la page par le navigateur .
-* Le temps de téléchargement des éléments de la page : cela dépend surtout du poids (en ko) de la page (Images !) et du débit réseau du serveur (mais aussi à la marge de ses performances de calcul) ;
#INCLURE
ou <INCLURE>
?- #INCLURE
- <INCLURE>
- la question des #MODELES
- la question du PHP directement dans les squelettes
- la question des balises #SESSION
- Le cache est déterminé par un temps de cache
- chaque URL avec des paramètres différents provoque la génération d’un cache spécifique
- chaque visiteur identifié provoque la génération d’un cache spécifique
- la question de la taille du cache vs performance
var_profile
et autres techniques- var_profile
- Page Speed
- http://www.webpagetest.org/
- memoization
- cache cool
- Fastcache
- Expresso
- fulltext
- inclure ajaxload
- ?
Les plugins utilisent des pipelines ou rajoutent des « fonctions » et des « options ». Si les calculs rajoutés sont lourds, cela peut avoir un impact sur le site.
- mes_options à chaque hit
- mes_fonctions à chaque calcul
- critères et index SQL
- Champs extra/jointures
- inclusions (factorisation)
- jointures
- ajax
à compléter, bien sûr !